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Ingrid Betancourt


la liberté !!!

oui je sais je suis très en retard mais bon...
l'essentiel étant qu'elle soit libre et qu'elle puisse a nouveau profiter de sa famille...
et a tous ceux qui y trouve a redire... et bien... je vous comprend pas...



Ingrid Betancourt enfin libre

L' « opération parfaite » d'infiltration organisée par l'armée colombienne a permis hier soir (mercredi 2 juillet 2008) la libération d'Ingrid Betancourt et de quatorze autres otages.
Alors que la France était plutôt inquiète pour le sort des otages depuis la mort de Manuel Marulanda, le chef des Farcs, la libération a été une immense surprise pour les familles des otages et la classe politique française.
Nicolas Sarkozy
a tenu hier un discours en direct de l'Elysée et a particulièrement félicité le président colombien Alvaro Uribe ainsi que tous les Français, connus ou anonymes, qui se sont mobilisés pour sa libération.
Mélanie et Lorenzo, les deux enfants d'Ingrid Betancourt on fait part de « leur joie indescriptible ».
Son comité de soutien organise aujourd'hui (à 17h un grand rassemblement « de bonheur » sur le parvis de l'hôtel de ville à Paris.

L’ex-candidate écologiste à la présidentielle colombienne était l'otage des Farc depuis le 23 février 2002. Elle a été libérée le 2 juillet 2008.


Née en 1961 dans la bonne société colombienne, Ingrid Betancourt est la fille d’un ancien ministre de l'Education et d’une ancienne sénatrice.
Lorsque son père devient ambassadeur de Colombie à l’Unesco, toute la famille part vivre en France.
Ingrid acquiert la nationalité franco-colombienne à la faveur de son mariage avec un diplomate français.
Après son divorce, en 1990, elle revient en Colombie, choisit la voie politique et devient députée en 1994.

Juan Manuel Santos, le ministre colombien de la Défense vient de l'annoncer, l'Élysée le confirme : Ingrid Betancourt est libre.
Enlevée par les Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie) le 23 février 2002, la franco-colombienne la plus célèbre du monde avait, ces derniers temps, beaucoup inquiété son entourage ainsi que les autorités françaises.
De fait, son état de santé ne cessait de se dégrader.
Le 28 mars 2008, la France envoyait donc un Falcon 900 médicalisé afin de recueillir Ingrid Betancourt en vue de son hypothétique libération.
Las ! Deux jours plus tard, l'avion regagnait la France à vide.

Opération Jaque
La nouvelle de sa libération ce soir en réjouit plus d'un. Celle-ci ne doit, apparemment, rien à Nicolas Sarkozy, qui rêvait pourtant d'en être l'artisan : c'est l'armée colombienne, au cours de l'«opération Jaque" (réalisée, paraît-il, avec l'aide des services secrets israéliens) qui aurait réussi à infiltrer les Farc, au point de pouvoir donner l'ordre de transférer les otages — dont Ingrid Betancourt.
Une fois le principe du transfert acquis, il ne restait plus à l'armée colombienne qu'à affréter quelques hélicoptères banalisés pour réussir à soustraire les otages à leurs ravisseurs.
C'est la version donnée ce soir par le gouvernement colombien.
Cependant d'autres rumeurs font état d'une reddition négociée de deux commandants des Farc.
Trois otages américains et onze militaires colombiens ont également été libérés au cours de cette opération héliportée. Arrivée à la base militaire la plus proche de Bogota peu avant minuit (heure française), Ingrid Betancourt a tenu à remercier «Dieu» et «les soldats de Colombie».
Puis elle a également remercié Sarkozy, Chirac… et Villepin ainsi que son épouse!

Ingrid Betancourt libre !












04/07/2009
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enfin une preuve de vie...



Une preuve de vie d'Ingrid Betancourt
envoyé par medee137

28/12/2007
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Hugo Chavez reçu par Nicolas Sarkozy à l'Elysée

Hugo Chavez est arrivé mardi à l'Elysée pour un déjeuner de travail avec Nicolas Sarkozy qui sera dominé par le sort d'Ingrid Betancourt, détenue par les FARC depuis plus de cinq ans. La famille de l'otage franco-colombienne devrait ensuite être reçue par le chef de l'Etat et le président vénézuélien.

"Ingrid est vivante, j'en suis certain", a déclaré lundi soir Hugo Chavez peu après son arrivée à Paris.
Toutefois, contrairement à ses promesses de ces derniers jours, il avouait ne toujours pas détenir de preuve de vie de la sénatrice, la dernière -une vidéo- remontant désormais à 2003.

La candidate écologiste à l'élection présidentielle colombienne a été enlevée par les FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) le 23 février 2002 avec sa directrice de campagne Clara Rojas.

"Nous attendons la preuve", a confirmé M. Chavez lundi soir, précisant que le commandant de la guérilla d'extrême gauche Manuel Marulanda lui avait demandé de dire à Nicolas Sarkozy qu'Ingrid Betancourt "est bien traitée". "J'ai confiance en la parole de Marulanda", a-t-il assuré.

"A titre de première étape, la fourniture de preuves de vie des otages, notamment d'Ingrid Betancourt, constitue un geste nécessaire que nous appelons les FARC à faire pour démontrer leur volonté d'aboutir", a prévenu lundi l'Elysée dans un communiqué.

Dans un courrier électronique envoyé à la presse lundi, les FARC ont diffusé une retranscription d'un entretien avec Luciano Marin Arango, membre des FARC connu sous le nom de guerre d'Ivan Marquez, qui a rencontré le président vénézuélien le 8 novembre.

Marquez y affirme avoir dit à Chavez que Marulanda "avait donné l'ordre d'envoyer une preuve de vie quand cela sera possible alors que se déroulent d'intenses combats dans le sud (de la Colombie), afin qu'elle puisse être transmise aux familles des prisonniers".

Le président vénézuélien est engagé depuis septembre dans une tentative de médiation avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC).
"Je crois vraiment que nous allons parvenir à un accord" avec les FARC, a-t-il réaffirmé lundi soir.
"Cela ouvrirait la voie à la paix en Colombie".

Pour libérer certains de leurs otages, les FARC exigent du président colombien Alvaro Uribe un échange de prisonniers avec leurs membres détenus dans les prisons colombiennes. "J'espère vraiment que nous pourrons y parvenir", a déclaré Hugo Chavez.

Signe d'une impatience croissante, le gouvernement colombien a toutefois fixé une date-butoir -d'ici décembre au plus tard- aux efforts d'Hugo Chavez.

C'est la première fois que MM. Sarkozy et Chavez se rencontrent.
Nicolas Sarkozy reçoit son homologue vénézuélien pour "des raisons humanitaires", soulignait-on à Paris, alors que tout oppose par ailleurs le Français, de droite, et le turbulent président socialiste, qui a accusé à plusieurs reprises les Etats-Unis de chercher à l'assassiner, multiplie les rencontres avec le président iranien conservateur radical Mahmoud Ahmadinejad et s'est accroché récemment avec le roi d'Espagne Juan Carlos.

M. Chavez n'a finalement pas participé à la rencontre qui était prévue avec des chefs d'entreprises du MEDEF à son hôtel mardi matin.
Son ministre des Affaires étrangères l'a remplacé, sans explications.

AP


source : latribune.fr


21/11/2007
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05 Nov 2007

La France et les FARC négocient à Caracas la libération d’Ingrid Betancourt.


Le président du Venezuela, Hugo Chavez, a révélé ce matin que plusieurs membres de la guérilla colombienne des FARC se trouvaient dans son pays pour négocier un éventuel échange de prisonniers avec Bogota et Washington.

Hugo Chavez a affirmé que les représentants des FARC étaient arrivés à Caracas la veille, c'est-à-dire le samedi 3 novembre 2007, et qu'un représentant du président Nicolas Sarkozy ainsi qu'un dirigeant de l'autre guérilla colombienne, l'ELN, se trouvaient aussi au Venezuela.

Le Venezuela, la France, les FARC, et l'ELN sont réunis à Caracas avec l'accord du président colombien Alvaro Uribe, dans le but de trouver un accord devant conduire à la libération de prisonniers dont certains pourrissent dans la forêt tropicale colombienne depuis plus de 10 ans.
Parmi ces prisonniers se trouve l'ancienne candidate à l'élection présidentielle colombienne de 2002, Ingrid Betancourt, ainsi que les trois otages américains Marc Gonsalves, Thomas Howe et Keith Stannsen, qui ont été enlevés par les FARC en février 2003 après que celles-ci eurent abattu l'avion avec lequel ils effectuaient une mission de lutte contre la drogue.

En échange de la libération de 45 des 765 otages (*) qui sont en leur pouvoir, les FARC exigent la libération par Washington de deux de leurs dirigeants prisonniers aux États-Unis, "Sonia" et "Simon Trinidad", l'élargissement de 500 de leurs hommes prisonniers à Bogota et la démilitarisation complète d'un territoire situé au sud-est de la Colombie, ce que refuse le gouvernement colombien pour des raisons de sécurité nationale évidentes.

Beaucoup d'experts estiment que cette rencontre à Caracas est celle de la dernière chance, car si le président Hugo havez n'arrive pas à faire entendre raison à la guérilla des FARC qui se proclame de la même mouvance politique que lui, cela signifierait qu'il n'y a plus aucun espoir d'arriver à la paix par des accords négociés, et que la voix des armes risque de se faire entendre pour longtemps.

Toujours dans le cadre de ces négociations, le président Hugo Chavez est attendu à Paris le 20 novembre prochain.

(*) chiffres fournis par la Fundación País Libre (Association pour un pays libre) qui est une ONG colombienne prodiguant gratuitement aide et assistance aux victimes directes et indirectes des enlèvements, des extorsions et des meurtres.



13/11/2007
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